LES STATUS DE GEISHAS ET PROSTITUÉES

Introduction:
La Geisha est une artiste gardienne des traditions japonaise qui traversa les 4 siècles au cours de l'histoire du Japon.
Ces femmes sont éduquées afin de devenir des artistes parfaite. Elles sont de toutes beauté.
Anciennement, ces petites filles était vendues par leurs parents ayant de grosse dettes financière et n'ayant plus la possibilité de les nourrirent. Elle étaient alors vendu soit dans des maisons de geisha qui les choisissait pour devenir de futures artistes ou alors dans des maisons closes afin de devenir des futures prostituées.
Elles furent éduquées dans l'art de l'amour.
Celles-ci n'avait pas d'autre choix hélas et devez apprendre depuis leurs plus jeune âge auprès de leurs grandes sœurs reconnue dans les Hanamachi des quartiers des plaisirs.
C'est lors de la seconde guerre mondiale que le métier de geisha connu un déclin voir pratiquement sa disparition.
Les jeunes filles ont été réquisitionnés de force dans des camps militaire afin de préparer les armes de guerres pour l'armée japonaise (balles etc...).
Cependant, les geishas ayant des mécènes furent cachés et protégés durant toutes la période de la seconde guerre mondiale et ne furent rappeler qu'a la fin de celle ci.
Les geishas ont été longtemps imager par les G.I comme des professionnel du Sexe lors de la seconde guerre mondiale (39-45). C était du au fait que les filles de bordel se faisaient passer pour pour des geishas.
Certaines maison disparurent durant la guerre tandis que d'autres okiya attendirent la fin du conflit pour ré ouvrir leur maison de geisha et relancer le quartier des Fleurs et des Saules.
La vente des petites filles fut interdit par Mac Arthur, à la fin de la guerre.
Cette action fut entrepris pour arrêter le trafic de la prostitution et la traite des blanches ( par la vente de fillettes) qui alimentaient le quartiers des plaisirs dans tous le Japon.
Mais qu'en est il aujourd'hui?
Je vous emporte dans les quartiers des Fleurs et des Saules afin de vous faire découvrir l'envers du décors. Je vous propose de lever le voile sur cette univers longtemps garder secret et préserver par le traditions et l'étiquette qui la régis. Tout ceci avec des articles en plusieurs parties.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Le saviez vous ?
Dans les temps anciens:
Quand ont dit Geisha vous pensez tous de suite à de sublime femme portant le kimono et ayant le magnifique fard blanc au lèvres couleur de sang. Toutes raffinées avec une connaissance parfaite des traditions japonaise.
Et si je vous disais qu'avant d'êtres un métier de femme, celui ci était un métier d'homme.
si si vous ne rêvez pas !
le métier de geisha était un métier d' hommes, ils se nommaient taikomochi.
Il s'agissait de bouffon qui distrait les clients dans des okiya ou les soirées privées donner en l'honneur de riche client.
Il fallait parfois plusieurs décennie au Taikomochi pour devenir ses artistes humoristiques avant d'être reconnu en tant que tel dans le métier. Ils vivaient un douloureux apprentissage chez leur maître.
A l'instar de sa comparse la geisha les taikomochi pouvaient se marier et fonder leur famille avec un ou plusieurs apprentis taikomochi.
Qu'es ce que le Taikomochi?
Le Taikomochi, est un hommes geisha.
Il fut le premier métier de distraction avant de devenir celui que l'ont connais dans les quartiers des plaisirs.
Il était réservé à une riche clientèle qui pouvais parfois se ruiner en quelques soirées.
On le nomma le quartier du château décline.
Il s'agissait de jeune garçon pris en charge pour leur apprentissage par leur maître reconnu pour leurs arts humoristiques.
Cette apprentissage pouvez allez jusqu'à plus de dix ans. Durant cette période le jeune apprenti vie chez son patron qui lui apprend sont art de taikomochi.
Durant ce temps il se rend utile envers la maison de son maitre au actes ménager et à la garde d'enfants.
Une fois sont entrée dans le demi monde il dépendra encore durant 2 ans de son maître à qui il devra donner la moitié de ses gages pour les soirées de distraction auquel il aurait été engagé.
Les taikomochi initiés sont reconnu au bout de trente années de métiers dans le monde des fleurs et des saules. Ils devenaient indépendant. Il etait de grade bien inférieur a celui des geishas actuel.
Leurs rôles étaient de conter des histoires, des légendes et mimer les faits de la vie.
Les taikomochi ne sont pas des porteurs de tambour, mais bien des humoristes hors pair en la matière. Son rôle consistait d'assister les invités lors de rencontre avec les geishas lors de banquet ou soirées privés et d'entretenir des relations conviviale et joyeuse jusqu'à la fin de soirée.
Le termes générale ce nommer Houkan (aide ou assistant parmi les gens).(sources du site https://www.mitene.or.jp/~houkan/2002/f06.html).
Qu'es ce que le terme Taikomochi?
L'histoire du terme Taikomochi remonte au file du temps et de l'histoire japonaise, voici pour vous trois raisons de ce terme.
1er Raison:
Cette histoire remonte au temps de l'ère Muromachi (1536 - 1573) jusqu'à l'ère Azuchi-Momoyama (1581 - 1602) qui conte les aventures de Hideyoshi Toyotomi un seigneur de guerre qui après de longue année de guerre fut connu pour avoir unifier le Japon sur la moitié du XVe au XVIe siècle.
Hideyoshi Toyotomi fut associé a ce nom "Taikomochi" c'est en 1585 qu'il fut désigné en tant que kanpaku (régent impérial) ou conseiller principale de l'Empereur.
Sont rôle a été transférer à son fils adoptif Hidetsugu Toyotomi en 1591 lorsqu'il eut le titre honorifique de "Taiko" par ses aides de camps qui voulait s'insinuer à ses bonnes grâces et le flattaient (Mochi-Ageru), cette expression qui signifie en japonais "élever une personne jusqu'au nue" avec cette altération des mots "Taiko-mochi".
2em Raison:
Cette histoire prétend qu'à l'origine il eux au sujet d'un maître réputé dans l'exécution du tambour (taiko) dont l'un des assistants tenaient le tambour "taikomochi" est servi son maître pour l'aider à jouer afin de le rendre plus heureux.
Mais la jalousie de ces rivales le nommèrent le taikomochi ironiquement envers l'assistant du maître.
3em Raison:
Elle peut être trouvée dans le "Shikido Okagami" le guide des quartiers des plaisirs du Japon à l'ère Edo (1600 - 1868).
Publier en 1678 et qui fut le premier écrit décrivant le taikomochi, en apparence pour amuser en introduisant des divertissements bruyants en tant que "Don - Chan - Sawagi" en japonais.
"Sawagi" (Bruyant) comme le "Don" bruit du tambour taiko, et "Chan" (le son d'une cloche Kane) dont la prononciation est la même que pour l'argent.
Source information sur le site:
https://www.mitene.or.jp/~houkan/2002/f06.html
Texte de Sakura Shiroi.